Le développement durable au cabinet du Dr Bauer

Dans l’exercice de ses activités médicales et chirurgicales, comme dans son fonctionnement quotidien, le cabinet du Dr Bauer cherche à limiter les impacts négatifs sur l’environnement ou sur la société. Il s’agit d’une démarche de développement durable. Elle est entreprise pour ne pas compromettre aujourd’hui l’épanouissement de la société de demain.

Toute entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, peut contribuer aux enjeux du développement durable en mettant en œuvre une démarche RSE (responsabilité sociale des entreprises). Les cabinets médicaux, dont la raison d’être est la santé des individus et de la collectivité, sont d’autant plus enclins à s’engager dans cette démarche. Voici les engagements du cabinet du Dr Bauer en faveur du développement durable.

Deux sites très accessibles par les transports en commun

La clinique de la Main, à Paris, et l’hôpital privé d’Antony sont les deux lieux de consultation et d’opération du Dr Bauer. Par leurs localisations, ils permettent au cabinet de rayonner sur deux secteurs distincts de la Capitale et de sa Petite Couronne. Tous les deux sont facilement accessibles par les transports en commun.
L’accès à la clinique de la Main, implantée au cœur de Paris, à proximité du Trocadéro, s’effectue par les lignes de métro 6 et 9 et par les lignes de bus 22, 32 et 52.
L’hôpital privé d’Antony se trouve à moins de 5 minutes à pied de la gare RER B d’Antony (qui est aussi le terminus ouest de l’Orlyval) et sur le trajet de nombreuses lignes de bus : 196, 197, 286, 297, 349, 395, 396 et TVM.

Les écogestes au cabinet du Dr Bauer

Dans une démarche de sobriété, nous incitons notre personnel à adopter des écoréflexes.
En voici quelques exemples :

  • éteindre la lumière et les appareils avant de quitter les locaux ;
  • privilégier la dématérialisation – notamment par l’envoi des comptes rendus par mail ;
  • conserver uniquement les fichiers informatiques nécessaires, sans doublon
  • imprimer lorsque cela répond à un vrai besoin, et en recto verso…

Nous avons aussi mis en œuvre des automatismes : outre l’extinction des lumières hors des horaires ouvrés, nous avons équipé les pièces de détecteurs de présence et les fenêtres de capteurs de fermeture qui commandent le chauffage ou la climatisation.

Dans le même esprit, la température de chaque pièce dépend de son usage : en hiver, une salle d’attente est moins chauffée qu’une salle d’opération ou d’examen, où l’on est moins couvert.

Des équipements et des usages réfléchis

De l’accueil des patients aux soins médicaux et chirurgicaux, une réflexion sur la nécessité des équipements et des appareils s’est imposée. Leur consommation et leurs usages sont pris en compte. Par exemple, faut-il installer une climatisation, par définition énergivore, partout au cabinet, ou un simple ventilateur suffirait-il dans certains espaces ?
La dépense énergétique est aussi une question fondamentale en ce qui concerne l’équipement informatique : choix de matériels moins gourmands, mais aussi règles de stockage –que ce soit sur place ou dans le cloud. Hors procédure de sauvegarde, un fichier stocké sans besoin, notamment un doublon, occupe de l’espace disque et utilise de l’électricité.
Les consommables entrent également dans le champ de réflexion : achat de draps d’examen ou d’autres fournitures fabriquées à partir de matériaux recyclés pour une empreinte carbone minimale, mais aussi prise en compte de la nocivité éventuelle à l’utilisation, et de la pollution à l’élimination ou recyclage. On évite notamment le surdosage des produits désinfectants ou de ménage qui, sans augmenter leur efficacité, est source de pollution et de résistance des germes infectieux.

Le double tri des déchets médicaux

En s’assurant de prétrier ses déchets médicaux dans la bonne catégorie de risque, le cabinet augmente la part des déchets assimilables aux ordures ménagères (DAOM) et réduit celle des déchets dits à risque infectieux (DASRI). Ces derniers sont collectés et éliminés par une filière sécuritaire distincte.
Les déchets placés dans la catégorie DAOM lors du pré-tri sont ensuite triés presque comme à la maison : draps d’examen en ouate de cellulose avec les ordures ou, mieux, au compost, mais emballages en carton au recyclage. D’un tri à l’autre, l’impact écologique baisse.
Les soins médicaux et chirurgicaux dépendent aussi grandement de matériels électroniques et informatiques, de l’ordinateur à l’échographe. Leur mutualisation permet de les utiliser à plusieurs, quotidiennement, et donc de diviser le bilan carbone d’une même machine.

Une démarche RSE plus globale

L’engagement du cabinet pour le développement durable passe également par un partage des bonnes pratiques avec les consœurs et confrères, et donc par le choix de prestataires et de partenaires de santé engagés eux aussi dans une démarche RSE.